New York, à Broadway, “Wonderhouse”

octobre 1991

Spectacle au théâtre Broadhurst, mis en scène par André Heller, co-produit par Peter Schwenkow, Mel Howard et Norman Rothstein. Précédemment produit en Europe par Peter Schwenkow sous le titre : Wintergarten.

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“Wonderhouse” au théâtre Broadhurst 

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Avec André Heller, créateur et metteur en scène de “Wonderhouse”

Quelle émotion de jouer à Broadway ! Et sur une telle scène, où tant de grands acteurs se sont produit ! Le gardien de l’entrée des artistes expose aux murs de son bureau une collection de photographies dédicacées par de célèbres acteurs ayant travaillé au Broadhurst, dont Liz Taylor et Dustin Hoffman. Il nous demande une dédicace, sur une carte postale de la Tour Eiffel à lui envoyer de Paris. Nous l’avons fait dès notre retour.

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Notre loge avec l’affiche de “Wonderhouse” 

Un bon vieil ami, le Professeur Randolph Goodman, spécialiste de l’histoire du théâtre, assiste à quelques répétitions. C’est une expérience pour lui et un plaisir pour nous. (Lisez l’histoire de notre curieuse première rencontre avec Randolph à Oslo, et comment une photographie de notre numéro des Baladins a été publiée dans un de ses livres. À propos de cette histoire, voyez : Chronologie, ligne Théâtre Noir, 1968).

La production a envie que notre chaise dans le numéro soit de style rococo. Pourquoi pas ? Sans plus tarder, Liam Herbert, le chef accessoiriste, fait avec nous la tournée des antiquaires. On va trouver : cher, beau et très lourd. La Production paye et je vais renforcer mes biceps.

Un orchestre de 5 musiciens est sur scène. Il joue un arrangement écrit pour nous d’après les Tableaux d’une Exposition de Moussorgski, particulièrement de la pièce : La Porte de Kiev. C’est une sensation très forte que de travailler d’après de la musique vivante.

Merveilleux succès au public. A la Première, le spectacle fait un tabac. Il a un tel parfum d’Europe ! Parmi le public de cette soirée, la soprano Jessye Norman ; nous avons une charmante conversation après le spectacle.

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“Wonderhouse” affiché sur les bus de la ville de New York

Omar Pasha fait apparaître des objets lumineux (et des personnages) à volonté puis les efface tout simplement comme s’ils n’étaient rien de plus que des dessins à la craie sur le tableau noir de notre enfance.

The New York Times, octobre 1991

Magie stupéfiante, illusions impossible à décrire.

Leida Snow sur 1010 Wins Radio, 21.10.1991

Omar Pasha crée des illusions ahurissantes.

Michael Bourne sur WBGO FM 88,3 - 18.10.1991

Lorsque Omar Pasha présente son Théâtre Noir, on est transporté dans le monde de “Transposed Heads” de Thomas Mann.

John Simon dans le magazine NEW YORK

Omar Pasha persuaderait même Penn et Teller* de disparaître.

*Les célèbres magiciens américains Penn et Teller était alors depuis longtemps à l’affiche à New York

Clive Barnes dans The New York Post, 21 octobre 1991

Omar, maître de l’illusion, fait apparaître et disparaître objets et personnes, y compris lui-même pour finir.

Arlene Epstein dans South Shore Records, 24 octobre 1991

Omar Pasha, un couple français, un numéro de magie où têtes et corps disparaissent, où une flamme saute d’une bougie à une autre.

Robert Osborne, dans The Hollywood Reporter, 21 octobre 1991

Omar Pasha, théâtre noir de grande classe.

Richmond Shepard dans The Wall Street Transcript, octobre 1991

Très chers Ernest, Michelle, Louis,

C’est pour moi un honneur et un plaisir de travailler avec vous dans le tout nouveau hit de Broadway.

Vous apportez mystère et magie à la scène américaine. Merci à vous d’être si extraordinaires et chaleureux.

Félicitations, affectueusement

Julie Crosby, directrice de la compagnie