Las Vegas, XXème Magic Desert Seminar

mars 1997

C’était une des principales et des plus connues parmi les Conventions Magiques aux Etats-Unis, parrainée par Siegfried & Roy et par Lance Burton et produite par Joe & Martha Stevens.

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“Au-dessus du lot, rejoignez Siegfried & Roy, Lance Burton, Omar Pasha (…) au 20ème Desert Magic Seminar”

Le théâtre d’environ 1000 places est comble. Toutes les stars de la magie à Las Vegas sont là. Franchement, nous avons le trac de notre vie, le souffle coupé. Par chance, Irène Larsen (du Magic Castle / Hollywood) est là : « Pourquoi avoir peur ? nous dit-elle. Vous êtes de tels professionnels et depuis si longtemps. » Merci Irène.

Alors, lorsque le rideau se lève, lorsque le numéro se déroule, lorsque nous sentons ce public avec nous, lorsque à la fin la salle est debout, c’est un sentiment, une émotion indescriptibles et inexplicables. Un de nos souvenirs les plus grands et les plus intenses.

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Magazine Magic, Avril 1997

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Dans la loge de Siegfried et Roy au théâtre de l’Hôtel Casino Mirage

Nous avons une longue interview avec John Moehring pour le magazine MAGIC.

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Page de couverture du numéro de mai 1997 du magazine “MAGIC” introduisant un article de 6 pages sur la tradition du Black Art et des familles Berscheid et Ostrowsky

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Avec Irene Larsen – photo X

Le spectacle des Primés du Séminaire magique fut dominé par un homme : Omar Pasha. Avant et après, le brouhaha était à son comble. Mais alors, ce fut silence révérencieux et respect extasié. Ce que l’on ressent secrètement à l’audition du “Boléro”, c’est ce que l’art d’Omar Pasha inspire à l’esprit de chaque magicien. L’ovation debout était non seulement inéluctable mais prédéterminée.

Jon Racherbaumer dans le magazine MAGIC - avril 1997

Mercredi 5 mars (1997)

C’est Noir et c’est de l’Art

… le vrai évènement de l’après-midi fut la prestation d’Omar Pasha de France avec son numéro de “black art”. Le numéro était entièrement encadré d’un ensemble d’ampoules rouges et le “black art” fonctionnait à la perfection. J’étais assis assez près de la scène et je n’ai rien pu voir de suspect. Un numéro de “black art” est quelque chose de coriace à mettre au point: si vous pouviez faire de la vraie magie, que feriez-vous? La réponse d’Omar Pasha à cette question lui a valu la première ovation debout  de la Convention.

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